Mal dormir pourrait augmenter le risque de démence
(Radio-Canada) –– Les gens d’âge moyen qui ne dorment pas assez pourraient présenter un risque de démence plus élevé 25 ou 30 ans plus tard, prévient une récente étude britannique.
Il ne faut toutefois pas en conclure que les quinquagénaires qui ne dorment que cinq ou six heures par nuit sont automatiquement condamnés à souffrir de démence à l’âge de 80 ans, précisent deux experts québécois consultés par La Presse canadienne, pas plus que ceux dont le sommeil est excellent seront automatiquement protégés.
Les troubles du sommeil et les troubles cognitifs sont multifactoriels, ont-ils dit, et il peut être très difficile de reconnaître ce qui est responsable de quoi. (…)